IO THE TALES OF HOFFMANN Hoffmann. Now, for his features... (He becomes absorbed.) Chorus. Now, for his features ?... Hoffmann (very slowly). Now, for his features... (Hc rises.) Ah, but her face was lovely! I see her Lovely as on that day when, following after her, I foolishly left my father's house And fied away thro' valleys and forests. The dusky curtains of lier hair Cast warm shadows upon her creamy throat, Her eyes of deepest azure Threw radiant glances, pure and serene; And as our car without shock or tremor Carried onward our hearts and our loves, Her vibrant voice sang to the listening skies A victorious chant whose eternal echo Resounds in my heart! Nathanael. 0 most fantastic brain! Whose portrait art thou painting? Klein- Zach? Hoffmann. 1 speak of her... Nathanael . . (touching his shoulder). Whom? Hoffmann. No! Nobody!... nothing, my spirit is troubled. Nothing!... And Klein-Zach is better, de- formed though he be! Chorus. Flick, flack, There's Klein-Zach. Hoffmann. Quant aux traits de sa figure... (Il semble s'absorber peu à peu dans sou rêve.) Le Choeur. Quant aux traits de sa figure?... Hoffmann (très lentement). Quant aux traits de sa figure... (Il se lève.) Ah! sa figure était charmante!..Je la vois, Belle comme le jour où, courant après elle, Je quittai comme un fou la maison paternelle Et m'enfuis à travers les vallons et les bois! Ses cheveux en torsades sombres Sur son col élégant jetaient leurs, chaudes ombres. Ses yeux, enveloppés d'azur, Promenaient autour d'elle un regard frais et pur; Et, comme notre char emportait sans secousse Nos coeurs et nos amours, sa voix vibrante et douce Aux cieux qui l'écoutaient jetait ce chant vainqueur Dont l'éternel écho résonne dans mon coeur! Nathanael. O bizarre cervelle! Qui diable peins-tu là! Klein-Zach?... Hoffmann. Je parle d'elle. Nathanael (lui touchant l'épaule). Qui? Hoffmann (sortant de son rêve). Non! personne!...rien! mon esprit se troublait! Rien!...Et Klein-Zach vaut mieux, tout difforme qu'il est!... Le Choeur. Flic, flac! Voilà Klein-Zachl 26 THE TALES OF HOFFMANN Hoffmann. The sky its radiance lends To beauty. But hidden in iron hearts Lies hell! Bliss of paradise Where lovers meet, Oaths, cursed hopes, Dreams of life! Oh, chastity, ( Oh, purity, Lies! The Chorus. To the devil with him who weeps, etc., etc. Schlemil (entering). . I see all is joy. Congratulations, madame. Giulietta. What! Why, I've wept for you three whole days! Pitichinaccio. Indeed! Schlemil (to Pitichinaccio). Scoundrel! Pitichinaccio. Hola! Giulietta. Calm yourselves! We have a stranger poet among us. (Presenting.) Hoffmann! Schlemil (with bad grace). Monsieur! Hoffmann. Le ciel te prête sa clarté, Beauté. Mais vous cachez, ô coeurs de fer, L'enfer! Bonheur du paradis Où l'amour convie, Serments, espoirs maudits, Rêves de la vie! O chastetés, O puretés, Mentez!. Le Choeur. Au diable celui qui pleure, etc., etc. Schlemil (entrant en scène). Je vois qu'on est en fête. A merveille, madame. Giulietta. Comment! Mais je vous ai pleuré trois grands jours. Pitichinaccio. Dame! Schlemil (à Pitichinaccio). Avorton 1 Pitichinaccio. Holal Giulietta. Calmez-vous! Nous avons un poète étranger parmi nous. (Présentant Hoffmann.) Hoffmann! Schlemil (de mauvaise grâce). Monsieur f Hoffmann Monsieur! (ironically). Hoffmann. (ironique). Monsieurl